Derniers moments au bord du Mékong au Laos, les 4 000 îles. Trois îles principales sur le fleuve qui aura été le fil conducteur de notre voyage au Laos : Don Det reliée par un pont à Don Khone et la plus grande Don Khong
Passage en bateau obligé pour rejoindre Don Khong.
Beaucoup de guesthouse avec bungalow pas super propres !
Encore une utilisation exceptionnelle du bambou. Un seul méga bambou fendu et tressé pour faire un hamac.
J'en veux un comme cela !
Comme partout les buffles passent une partie de la journée dans l'eau pour se protéger des insectes.
Four pour le charbon de bois. Nous n'en n'avions jamais vu. Les îliens y entassent du bois, ferment et alimentent un feu pendant plusieurs heures. Ensuite, ils découpent leur four en terre pour extraire le charbon de bois.
Tous les travaux des champs n'en sont pas en même moment. Sur les îles, avec l'arrivée de la pluie, les paysans commencent à retourner la terre. Ici pas de tracteur mais le buffle pour tracter une toute petite charrue à un soc très légère.
Un pêcheur tend son filet sur un bras du Mékong. Il est monté sur une perche en bambou pour l'accrocher le plus haut possible.
Le tour des îles se fait à bicyclette.
Pour éviter les chutes d'eau qui empêchent la navigation, les français avait installé le chemin de fer sur l'île.
une ligne de chemin de fer de 14 kilomètres et un pont entre les deux plus petites îles.
Vue du pont des français depuis une terrasse.
Confection de la farine de riz
Tour de la plus grande île, près de 50 à 60 kilomètres.
La pêche est omniprésente, au filet , au carrelet ou avec des nasses.
Il existe aussi un bac pour permettre le passage des véhicules sur Don Khong.
Les jeunes pousses de riz liées pour être replantées régulièrement dans tous les champs aux alentours.
La mousson est sur nous ! Heureusement pour tous les paysans. La pluie ne dure pour le moment pas longtemps. Rapidement le soleil refait son apparition avec ici un arc-en-ciel.
Passage en bateau obligé pour rejoindre Don Khong.
Beaucoup de guesthouse avec bungalow pas super propres !
Encore une utilisation exceptionnelle du bambou. Un seul méga bambou fendu et tressé pour faire un hamac.
J'en veux un comme cela !
Comme partout les buffles passent une partie de la journée dans l'eau pour se protéger des insectes.
Four pour le charbon de bois. Nous n'en n'avions jamais vu. Les îliens y entassent du bois, ferment et alimentent un feu pendant plusieurs heures. Ensuite, ils découpent leur four en terre pour extraire le charbon de bois.
Tous les travaux des champs n'en sont pas en même moment. Sur les îles, avec l'arrivée de la pluie, les paysans commencent à retourner la terre. Ici pas de tracteur mais le buffle pour tracter une toute petite charrue à un soc très légère.
Un pêcheur tend son filet sur un bras du Mékong. Il est monté sur une perche en bambou pour l'accrocher le plus haut possible.
Le tour des îles se fait à bicyclette.
Pour éviter les chutes d'eau qui empêchent la navigation, les français avait installé le chemin de fer sur l'île.
une ligne de chemin de fer de 14 kilomètres et un pont entre les deux plus petites îles.
Vue du pont des français depuis une terrasse.
Confection de la farine de riz
Tour de la plus grande île, près de 50 à 60 kilomètres.
La pêche est omniprésente, au filet , au carrelet ou avec des nasses.
Il existe aussi un bac pour permettre le passage des véhicules sur Don Khong.
Les jeunes pousses de riz liées pour être replantées régulièrement dans tous les champs aux alentours.
La mousson est sur nous ! Heureusement pour tous les paysans. La pluie ne dure pour le moment pas longtemps. Rapidement le soleil refait son apparition avec ici un arc-en-ciel.
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